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Passons à la partie moteur : -admission par carter, à l’aide de clapets carbones, empruntés à un kit course de 103 Peugeot, le carbu étant un Mikuni de 19. -l’embiellage est d’origine, mais une réduction de l’écrou de maneton évite l’accrochage des clapets à l’admission. -l’embrayage est supprimé et le galet bloqué sur le vilo; vient ensuite l’allumage, un volant magnétique Bosch de Flandria. La bielle en alu très solide d’origine est conservée. |
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-le cylindre d’origine est monté devant-derrière, la lumière d’admission est bouchée
(admission par carter), agrandissement au max de la lumière d’échappement, suppression des cloisons
entre cylindre et transferts ainsi qu’agrandissement des canaux de transferts. Creusement de deux
transferts supplémentaires, à l’arrière du cylindre. La pose d’une cale de trois millimètres est
destinée à améliorer le diagramme de distribution (augmentation du temps d’échappement et de transfert
des gaz. En conséquence, vous vous doutez bien que le rabotage du haut de cylindre s’impose pour
retrouver une compression décente. La culasse une Flandria (même entre goujon) type Minarelli étant
elle, généreusement rabotée, faut ce qu’il faut, n’est-ce pas? -Maintenant, le travail sur le piston: suppression du segment inférieur, pose d’un ergot pour empêcher de tourner le segment supérieur, percement de deux trous dans la jupe (quel érotisme torride!), pour correspondre avec les deux transferts en sup. -Un ressort puissant pousse enfin, cruellement, le galet sur le pneu, ce qui prouve que l’on a peu d’amis. |